Archives pour la catégorie Pièces éditées

Nouveauté THÉÂTRE

Quatre pièces de théâtre éditées que l’on peut se procurer sur tous les sites marchands ainsi que dans toute librairie (quelle que soit sa spécialité) sur commande. (livraison rapide)

J’ai épousé ma liberté : Pauline attend Alexandre, un homme rencontré sur le net, pour un premier rendez-vous. Carla, la mère de la jeune femme débarque à l’improviste habillée en Statue de la Liberté. L’homme tarde, elles décident, comme prévu, de diner au restaurant et prient Théo, un voisin, de lui remettre la clé de l’appartement. À leur retour, elles découvrent un individu endormi qui ne ressemble pas à la photo de l’homme attendu. Ligoté et réduit au silence, il devient la cible de Carla qui entretient une forte aversion pour la gent masculine. Une comédie extravagante et dynamique pour 2 F et 2 H.

La vie qui file : Katia et Mathieu arrivent chacun dans une boite mais dans le même colis devant La Mort. Ils ignorent tout l’un de l’autre si ce n’est qu’elle s’est suicidée et qu’il est là par accident. Au moment de franchir l’ultime porte, La Vie stoppe La Mort car  la Haute Autorité offre aux deux jeunes gens la possibilité de retourner parmi les vivants à la condition que le colis contienne les deux corps. Il veut vivre, elle veut mourir. Chacun tente de convaincre l’autre mais le temps presse car le fil qui les relie encore à leur propre vie se déroule à grande vitesse sur la bobine du temps et la bougie va bientôt s’éteindre.  Une comédie étrange, drôle et profonde pour 2 F et 2 H qui traite de l’absurdité de la condition humaine.

Une inconnue dans la glace : Benoit avoue à Margot qu’il l’a trompée. Elle le met à la porte. Et voilà qu’apparaît, à l’intérieur du miroir sur pied, une femme qui a le pouvoir de sortir du cadre et d’y retourner. Margot, qui est la seule à la voir, essaye de la chasser mais n’y parvient pas. Des échanges mouvementés s’ensuivent perturbés par les allers et retours de la concierge de l’immeuble dotée d’une logique imparable. Quant à Benoît, il tente désespérément de se faire pardonner. Une comédie surprenante et drôle pour 3 F et 1 H qui interroge l’infidélité du couple, le pardon et la remise en question de soi.

Nos actes manqués : Aujourd’hui, c’est la fête des mères et elle a dressé une jolie table.  Comme chaque année depuis vingt ans, en ce jour très spécial, elle espère la visite de son fils qu’elle n’a plus revu depuis tout ce temps. Elle sort sa boite à souvenirs et redessine sa vie en s’adressant aux photos de son fils, de son petit-fils qu’elle ne connaît pas et de son ex-mari. Tout à tour joyeuse ou triste, en colère ou pleine d’espoir, sans porter de jugement, elle ouvre son cœur, toujours dans l’attente d’un retour possible. Une pièce intense et riche en émotions à jouer par une comédienne de soixante ans minimum.



Huit pièces jeunesse bientôt jouées

En ce début d’année, huit demandes pour jouer les pièces jeunesse avec 4 textes différents

Au secours la terre est malade au Liban

terre 1

La pièce Au secours la terre est malade se joue les 30 et 31 mai 2017 au Liban avec les enfants de l’école française la Sainte Famille à Jounieh dans une mise en scène de leur professeure de français, Joëlle El Adem Massaad, qui m’a promis des photos du spectacle. Je la remercie d’avance.

Pour lire un extrait, c’est ici

Ma fleur se meurt

Pour vous procurer la pièce éditée chez l’Oeil du Prince : La Librairie Théâtrale

La pièce dure 80 min avec trois personnages :fleur

  • CHARLOTTE, jolie et sexy, la trentaine
  • ARTHUR, jeune premier, entre 30 et 40 ans
  • ANTONIN, garagiste, Marseillais, séducteur

Voix off :

  • LE COLLÈGUE D’ANTONIN, Marseillais
  • LE PSY

Le décor est simple avec quelques accessoires indispensables :

  • Un salon sobre et moderne.
  • Sept pots et fleurs identiques dont la fleur change d’aspect à chaque scène.
  • Un grand cadre. Un grand miroir.
  • Table, canapé, etc. Deux coussins identiques.

Résumé :

Sept ans de vie commune, crise de la trentaine, Charlotte et Arthur se séparent, répartissent leurs biens, se disputent une fleur et conviennent d’un accord : une semaine chez l’un, une semaine chez l’autre.

« Comme un enfant ! » dit-elle. « Tu le sais, elle ne représente pas un enfant mais autre chose », répond-il.

Une comédie douce amère qui cherche à réveiller la vie à deux, souvent gangrénée par la routine.

***

L’écriture de cette pièce m’a été inspirée par un passage du livre « La Faim du tigre » de René Barjavel

« Chaque fleur est un sexe. Y avez-vous pensé quand vous respirez une rose ? Chaque fleur est même, le plus souvent deux sexes, le mâle et la femelle et sa vie brève est, dans un flamboiement de beauté, l’accomplissement de l’amour ».

Si la séparation du couple est un thème qui a maintes fois été traité, ma pièce a cela d’original qu’elle met en scène une fleur à la particularité de se transformer en fonction des faits et gestes du couple et de ses états d’âme successifs.

La fleur/tige est le prétexte, elle est l’aimant, elle est le trait d’union qui empêche Arthur et Charlotte de se dissocier. De leur histoire, il ne reste que cette fleur/tige et chacun tente de lui redonner du souffle, elle devient une bouée à laquelle l’un et l’autre se raccrochent. Sans cette fleur, ils savent leur amour perdu.

Pour lire un extrait, cliquez ici